Ă€ la Recherche de la Sagesse Universelle et du Bon Sens

Que se passe-t-il sur cette planète ?

Réflexions d’un citoyen du monde

Quand j’observe notre planète, une certaine inquiétude surgit. Certes, les nouvelles transmises par les médias sont souvent alarmantes, mais je sais aussi que la majorité de la population mondiale ne cherche qu’à avoir une vie paisible où il est possible de prospérer, grandir et s’épanouir.


Et pourtant, ce n’est pas tout à fait ce que nous pouvons constater dans l’ensemble ! Qu’est-ce qui se passe donc sur cette planète ? Qu’est-ce qui ne tourne pas rond ? Comment en sommes-nous arrivés là ?


Cela fait déjà un certain temps que je voulais écrire cet article. J’ai au départ beaucoup hésité ! Ensuite, je me suis dit qu’après tout je présente ici mes observations et analyses. En fin de compte, il valait mieux exposer mes réflexions que de les garder pour moi ! Libre à chacun de se faire sa propre opinion. 


Qui suis-je pour Ă©crire un tel article ?


Juste un citoyen qui essaye de comprendre le fonctionnement du monde, qui se pose des questions sur la situation mondiale et qui cherche à donner quelques pistes à suivre afin que nous puissions tous vivre mieux. Issu d’une éducation occidentale, je me suis formé dans de multiples études et j’ai pratiqué divers métiers dans le domaine administratif et médical. Je me suis perfectionné en étudiant la médecine chinoise, la philosophie chinoise, plus particulièrement la philosophie taoïste, la psychologie chinoise, et en autodidacte la théosophie. Les richesses apportées par ce parcours et mon expérience m'ont appris à mieux observer tout ce qui m'entoure, à considérer tous les phénomènes qui existent et à établir des relations afin de mieux comprendre le monde, son fonctionnement, et bien entendu notre propre fonctionnement en tant qu’humains.


Pour ne pas alourdir le texte qui suit, le masculin est utilisé pour désigner les deux sexes.



L’importance des décideurs


Observons, pour commencer, comment fonctionne l’être humain. Il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive de l’homo sapiens sapiens, car cela serait trop complexe et long à présenter, mais analysons un élément qui permet déjà de comprendre certains aspects intéressants.


Chose que vous m’accorderez aisément, l’être humain est conçu pour vivre en société. Comme il ne peut pas avoir toutes les compétences, il doit avoir recours à celles d’autres personnes. Nous nous complétons donc les uns les autres et pouvons ainsi, en collaborant, créer de grandes choses.


Pour bénéficier de cette synergie et vivre en société, il faut pouvoir coordonner les choses, de sorte que chaque individu ne fasse pas à sa manière n’importe quoi n’importe comment. La faculté de planifier et d’organiser se révèle donc nécessaire. Il faut que certaines personnes aient la capacité de réfléchir, de projeter et de coordonner les choses. Ainsi, il est possible de tirer le meilleur de chacun, et chacun peut obtenir un avantage de cette organisation et des compétences de l’autre.


Il est donc nécessaire d’avoir des coordinateurs. S’il n’y en avait pas, ce serait l’anarchie : chacun ferait selon son bon vouloir et ses propres désirs sans un grand égard des autres, et la cohabitation serait très chaotique et très probablement dangereuse.


Si les coordinateurs ne sont pas assez doués, ou assez responsables, et travaillent selon leurs propres intérêts, et pas ceux des besoins de la société ou d’un groupe d’individus, ni dans le respect de l’environnement naturel, dans ce cas, au lieu d’obtenir un équilibre qui peut fonctionner à long terme, avec de belles perspectives de croissance et de progression dans tous les domaines, ils provoqueront progressivement un déséquilibre de plus en plus important et néfaste au niveau social, économique et environnemental.


Comparons ceci, pour une meilleure compréhension, à un organisme vivant évolué comme un être humain. Comme vous le savez, celui-ci est constitué de plusieurs éléments (organes, viscères, système musculaire, système circulatoire, système nerveux, etc.), mais surtout d’environ 10 mia de cellules. Ces cellules fonctionnent dans un ensemble coordonné de manière à « s’entraider », à collaborer. Elles sont normalement soumises à un certain ordre, dirigé principalement par le cerveau, le système nerveux et les glandes endocrines qui déversent les hormones servant à la régulation. Admettons que ces cellules commencent à sortir de cet ordre et deviennent indépendantes, qu’elles ne suivent plus les lois nécessaires au bon fonctionnement de l’ensemble de l’organisme vivant, mais qu’elles n’en fassent « qu’à leur tête ». Qu’est-ce que nous obtiendrions ? Un système chaotique avec des croissances de cellules incontrôlées et envahissant inutilement l’espace du corps humain, voire de manière dangereuse pour son bon fonctionnement ! Cela s’appelle....  un cancer, ce qui n’est bien évidemment pas souhaitable. Ces cellules « indépendantes » ont peut-être l’impression que tout fonctionne parfaitement bien, car elles sont alimentées par leur hôte, mais elles ne se rendent pas compte qu’elles sont en train de le détruire et, du coup, se condamnent elles-mêmes. Cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ? N’est pas ce que nous sommes un peu en train de faire sur notre planète ?


Dans un corps humain, comme indiqué plus haut, ce sont le cerveau avec son système nerveux et le système endocrinien qui ont la tâche principale de régulation. Et dans une société, avec un mode de fonctionnement pluridisciplinaire et qui doit être coordonné, comme dans un corps humain, ce sont les dirigeants à différents niveaux qui ont cette responsabilité. S’ils ne font pas bien leur travail, cela créera un déséquilibre social, économique et environnemental qui risque d’aboutir, comme pour le cancer, à un désordre important avec, comme conséquence, l’extinction du système mal organisé ! Nous pouvons donc aisément conclure qu’une structure mal organisée, mal dirigée, finit par disparaître plus vite que prévu ! Voilà qui devrait faire réfléchir !


Vous allez certainement me dire que nous avons une structure organisationnelle comportant des dirigeants, des politiciens, des chefs d’entreprises, des chefs de services, etc. En effet, vous avez raison, et pourtant, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans ce monde ! Il y a toujours des conflits importants sur la planète, la famine existe encore, les conditions de travail deviennent de plus en plus difficiles avec la réduction du personnel dans les entreprises sans en diminuer la charge de travail; la classe moyenne s’appauvrit, le pouvoir d’achat diminue pour la majorité de la population, l’adage « les riches deviennent toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres » continue de se réaliser : plusieurs études le démontrent ! Faites des recherches, vous verrez ! Que se passe-t-il alors ?



L’humain et le système économique


L’être humain doit vivre en société pour assurer sa survie en partageant les tâches, chaque individu ayant des compétences différentes. Pour faciliter les échanges de compétences, l’être humain a inventé l’argent, le système monétaire. Grâce à cet outil, un cordonnier peut « échanger » les chaussures qu’il a fabriquées contre de la nourriture, par exemple. Ou bien, un enseignant qui donne des cours va obtenir, en contre-partie, de l’argent, car il n’a pas le temps de s’occuper de son jardin lorsqu’il donne des cours, mais il a besoin de nourriture pour vivre. Il va donc recevoir de l’argent qui lui permettra de se procurer de la nourriture, par exemple. Ainsi, dans l’économie, les choses transformées ou produites, ou le travail fourni, même s’il est cérébral, obtiennent une valeur. Celle-ci est principalement basée sur la théorie de l’offre et la demande, c’est-à-dire que plus quelque chose est rare, plus cette chose prendra de la valeur, alors qu’elle en perdra en cas de surabondance. N’y a-t-il pas quelque chose qui vous interpelle ici ?


La valeur est basée principalement sur l’abondance ou la rareté de la chose ou de ce qui est produit, mais pas sur la valeur réelle de la chose qui est le travail nécessaire à sa fabrication ! Selon le système actuel, le cordonnier ne vendra pas des chaussures d’après le nombre d’heures et le matériel nécessaires pour les fabriquer, compensé par une somme d’argent qui lui permettra de vivre décemment, le temps de refabriquer une paire de chaussures pour la revendre à nouveau, mais d’après l’offre et la demande du marché ! L’enseignant aura un salaire plus ou moins important en fonction de la rareté ou au contraire de la surabondance de places de travail. N’y a-t-il pas là quelque chose qui n’est pas approprié ? Je laisserai les économistes débattre de cette question qui ne me semble pas anodine !


Le fait que le sytème monétaire s’est mis en place pour servir l’homme, le système économique en général d’ailleurs, n’est pas néfaste. Ce qui l’est, c’est qu’actuellement toutes les décisions sont prises en fonction des coûts, et ne sont plus, pour une grande partie, prises par rapport au besoin, au bon sens ou selon la nécessité ! Plusieurs exemples le démontrent : on augmente l’âge de la retraite et on en baisse les montants parce qu’il n’y a plus assez d’argent dans les caisses de retraite, sans prendre en considération les besoins réels pour vivre; la protection de l’environnement n’est que très peu prise en considération, car elle coûte cher, alors qu’elle devient de plus en plus une nécessité; on réduit les coûts de la santé, ce qui diminue aussi sa qualité (réduction du personnel soignant, du nombre des hôpitaux, etc.), et aboutit à une prise en charge moins bonne provoquant une aggravation de la santé, d’où une augmentation de ses coûts; on réduit les coûts de la formation, alors que celle-ci est un des grands piliers du bon fonctionnement d’une société; on ne favorise pas beaucoup les énergies renouvelables, car elles coûtent cher, alors que nous nous dirigeons vers une société où il n’y aura plus assez d’énergie pour tout le monde, et j’en passe ! Analysez toutes les décisions qui sont prises dans votre pays, et combien le sont en faveur de l’être humain, ou au contraire en faveur du système économique ! Ceci est très inquiétant!  


Nous avons inventé l’économie et le système monétaire pour nous servir, mais nous en sommes devenus esclaves !


C’est très étonnant et préoccupant, non ? L’être humain, qui est intelligent, est devenu esclave du système économique ! Où est passée l’intelligence ?


Ce n’est plus le bon sens, ni la nécessité, qui dictent ce qui est important et essentiel, mais ce sont les coûts qui vont « décider » si quelque chose sera fait ou pas, si quelque chose est bon ou pas ! C’est absurde, non ? Bien entendu, économiquement parlant ce ne sera pas aberrant, mais humainement parlant, oui !


Notre société a évolué dans le sens « paye ou meurs ». Comment avons-nous pu en arriver là ?


Est-il normal que l’économie ait pris plus d’importance que l’être humain ? Pouvons-nous vivre sans économie ? Qu’en pensez-vous ?


Bien sûr que oui, nous pouvons vivre sans système économique, puisque la nature autour de nous fonctionne très bien sans cet outil !


Où est l’erreur ? C’est que petit à petit, sans qu’on s’en rende compte, insidieusement, l’économie a pris de plus en plus de place dans notre vie et est devenue finalement le centre de nos préoccupations, et l’être humain a été « détrôné » à l’avantage du capitalisme ! Le système capitaliste fait croire qu’il fait prospérer l’être humain, ce qui en partie est juste, mais seulement en partie, car en réalité, ce n’est pas le cas ! Les décisions sont souvent prises en fonction des profits ou avantages économiques, pas à cause des besoins humains !


Quand est-ce qu’on va remettre à nouveau l’être humain au centre des préoccupations ?


Notre système économique ne mesure pas le niveau de notre bien-être intérieur, le bonheur, le temps que nous pouvons passer avec notre famille et nos amis, ni si notre profession nous pousse vers le burn-out ou nous permet de nous réaliser. Et pourtant, ce sont là des éléments essentiels dans une vie humaine, non ? Mettons à nouveau l’humain au centre, et pas l’économie.


Et comme l’a analysé le Prof. Dr Hans Christoph Binswanger, économiste, nous devons sortir de cette course au « plus, plus vite, plus loin », car nous sommes dans un monde fini, et pas dans un monde aux ressources infinies ! Alors pourquoi nous comportons-nous comme si les ressources étaient infinies ? Déjà en 1972 le Club de Rome avait publié un rapport intitulé « Halte à la croissance », réédité et mis à jour en 2012 avec le titre « Les limites à la croissance (dans un monde fini): Le rapport Meadows, 30ans après », qui mettait en évidence la nécessité de stopper la croissance sans fin afin de préserver le système mondial. Qui a la responsabilité de surveiller et d’organiser cela, si ce ne sont les dirigeants ?


Certes, la responsabilité incombe aussi au citoyen ! Mais celui-ci, comme la cellule du corps humain, ne se rend pas nécessairement compte de l’implication que cela peut avoir, alors que les dirigeants devraient avoir cette vision et ont cette responsabilité afin de garantir la pérennité !


Il va falloir repenser à une nouvelle approche du système économique, le réorganiser pour mettre les besoins de l’être humain au centre ! Il y a là un défi très intéressant à relever pour les économistes et les dirigeants, non ?



Ce qui est vraiment important


Les nouveaux défis qui nous attendent, pas à moyen terme, pas à long terme, mais bien à court terme, c’est-à-dire maintenant, sont :


  • veiller Ă  ce qu’il y ait suffisamment de nourriture saine pour tous;
  • permettre d’avoir un logement dĂ©cent;
  • donner la possibilitĂ© d’avoir un travail dĂ©cent avec une rĂ©munĂ©ration qui permette de vivre convenablement;
  • dispenser une Ă©ducation adĂ©quate et adaptĂ©e et donner l’opportunitĂ© d’une formation qui permette un Ă©panouissement de chacun selon ses intĂ©rĂŞts et ses compĂ©tences;
  • assurer de bons soins mĂ©dicaux et une hygiène en gĂ©nĂ©ral, mais aussi de bonnes conditions de vie qui permettent de vivre en bonne santĂ©;
  • assurer la paix et la tolĂ©rance pour vivre dans la sĂ©curitĂ© et construire sur la confiance entre citoyens, crĂ©er un sentiment de communautĂ© et d'unitĂ© parmi eux;
  • mettre en place une justice qui fonctionne et qui soit Ă©quitable;
  • veiller Ă  ce que les institutions de l'État soient de grande qualitĂ©, non corrompues, capables de tenir leurs promesses et gĂ©nĂ©reuses dans la prise en charge des citoyens dans diverses adversitĂ©s;
  • assurer l’égalitĂ© sous toutes ses formes;
  • favoriser des activitĂ©s personnelles afin d’amĂ©liorer la qualitĂ© de vie et de construire sur les expĂ©riences gratifiantes;
  • vivre en accord avec la nature et l’environnement naturel.



Qu’est-ce qui fait un bon dirigeant ?


Mis à part les qualités d’anticipation, de trouver des solutions et de prendre des décisions, sans oublier les qualités non négligeables d’être vertueux et bienveillant, et de donner l’exemple, un bon dirigeant doit aussi pouvoir se mettre dans la peau d’autrui !


Dans le préambule de la Constitution fédérale de la Confédération suisse nous pouvons lire : « ...la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres ».


Mettez-vous à la place des plus démunis, pas ceux qui désirent vivre ainsi, mais ceux qui ne peuvent pas monter les échelons. En tant que dirigeants, vous devez pouvoir vous mettre à la place de l’autre, autrement vous ne pouvez pas prendre de décisions en connaissance de cause de toutes les sphères sociales !


Afin que les décideurs puissent mieux prendre conscience de ce qu’est la réalité d’un ouvrier, il faudrait qu’ils acceptent de vivre, de travailler et de gagner comme eux, avec leur famille, pendant un ou deux mois chaque deux ans, en ayant les mêmes charges, contraintes financières et salaires, et en logeant dans un appartement modeste. Ainsi ils seraient plus proches de la classe ouvrière et constateraient plus facilement les défis que doit relever une famille dans cet environnement !


Un autre facteur très important, voire essentiel, devrait être introduit avant ou tout au début de l’entrée en fonction d’un dirigeant. Il faudrait qu’il suive une formation particulière, élaborée par des spécialistes bienveillants en économie, santé, sociologie et autres, en y incluant l’étude spécifique des erreurs faites par le passé, pour qu’il ne les répète pas à chaque fois qu’une situation déjà vécue dans l’histoire réapparaît ! Apprenons des erreurs du passé ! Ainsi, les décisions prises seront plus avisées, plus appropriées et constructives à la situation actuelle. Cela permettra une progression meilleure et plus rapide de notre société !


Aux économistes, éducateurs, sociologues, psychologues, médecins, scientifiques, etc., par leurs analyses, recherches et conclusions, d’aider les dirigeants de la planète à rendre ce monde plus viable et meilleur, dans la paix, la sécurité, la joie et la prospérité.


Vous, les dirigeants, vous êtes responsables de la société. Vous devez avoir à coeur le meilleur de l’intérêt de l’humanité ! À vous de garantir le bien-être de chaque individu dans l’égalité et le respect, de permettre l’épanouissement et la prospérité de chacun en harmonie avec l’environnement !


Vous avez cette responsabilité ! En avez-vous conscience ?



Conclusion


Chers dirigeants, soyez donc responsables et bienveillants comme un père et une mère le sont pour leurs enfants. Soyez vigilants comme un sage qui cherche à rendre indépendant et à faire grandir et évoluer son disciple. Soyez attentifs comme un instituteur qui ne désire que la réussite et la réalisation de son élève.


Nous avons tous une responsabilité, qui va au-delà de la vie terrestre ! Je l’ai expliqué dans mes vidéos YouTube sur la chaîne 


@veravero


Je ne vais donc pas reprendre cette démonstration ici. Mais jetez un coup d’oeil à ces vidéos. Vous comprendrez mieux que la vie que nous menons sur terre n’est pas qu’une simple vie, mais que l’enjeu est nettement plus grand, nettement plus vaste et important que ce que nous pouvons imaginer, et que notre responsabilité est plus grande que ce que nous pensons ! Alors, prenons nos responsabilités et construisons un monde meilleur, plus juste, où tout le monde peut avoir sa chance de vivre heureux et bien. Vous, les dirigeants, avez cette responsabilité. Soyez enthousiastes à réaliser un monde juste et équitable pour tous, un monde qui vit dans la paix et la sécurité. Vous y prendrez aussi plus de plaisir, car les études le démontrent très clairement : donner rend plus heureux que de recevoir.


Et comme dit Richard David Precht dans son livre « Wer bin ich - und wenn ja wie viele ? » (« Qui suis-je et, si je suis, combien ? ») :


« Remplissez vos jours de vie, et pas votre vie de jours. »


Soyez des créateurs de bonheur. Vous avez ce choix !


Ceci est de votre responsabilité.



(Ce texte est libre de droits et peut être reproduit et/ou traduit à l’identique partiellement ou entièrement. Les traductions doivent porter la clause suivante : « Le présent document est une traduction non officielle pour laquelle l’auteur décline toute responsabilité ». Ce texte ne doit pas être utilisé à des fins commerciales. Il reste la seule propriété de son auteur.)

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